Au Bénin, une affaire de corruption présumée accable un parti politique récemment porté sur les fonts baptismaux depuis la cité dortoir, Abomey-Calavi. Il s’agit du parti « Le Libéral » présidé par Richard Boni OUOROU.
Au cœur de l’affaire, selon le média béninois Radio Sêdohoun, la corruption présumée d’agents publics dans le processus de reconnaissance de cette formation politique. Cette affaire qui défraie la chronique fait réagir respectivement le ministre de l’intérieur et de la sécurité publique et le procureur spécial de la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET). En effet, des révélations ont été faites au travers de leurs déclarations. A la suite desdites révélations et en attendant les résultats des enquêtes approfondies en cours, le Haut-Commissariat à la Prévention de la Corruption (HCPC) réagit. L’institution de prévention de la corruption en République du Bénin, dirigée par le Haut-Commissaire Jacques MIGAN révèle que si les faits évoqués sont avérés, cela constitue << une violation grave des principes d’intégrité, de neutralité et de probité…>>. Le HCPC tient aussi à faire d’importants rappels aux uns et aux autres. Lire l’intégralité de la déclaration du HCPC
Sidoine AHONONGA