Madame Rokia TRAORE constate avec profond regret que sa vie privée a une fois de plus été bafouée, par la publication d’informations inexactes à son sujet.
Elle tient à rappeler qu’elle n’a pas enlevé son enfant, puisque celle-ci ne vivait pas en Belgique. Elle a grandi au Mali où elle vit encore. Madame Rokia Traoré n’a jamais fui l’Europe avec sa fille.
Madame Traoré rappelle qu’elle n’a pas non plus refusé de se présenter devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, mais n’avait pas été informée de sa convocation devant celui-ci. Un jugement a ainsi été rendu en son absence sans qu’elle ait pu mandater un avocat pour sa défense, ce qui est possible en droit belge.
Ayant toujours eu pour seul souci le bien-être de l’enfant, et rien d’autre, elle a convenue avec le père de la mise en place d’un processus de reconstruction, avec l’appui de professionnels.
Madame TRAORE, qui a été remise en liberté (autrement dit sans condition aucune), insiste pour que ce processus puisse désormais se poursuivre sereinement, dans le respect de sa vie privée.