« Ce n’était pas un viol, nous sommes amants », se défend un directeur d’école qui a couché avec l’une de ses élèves

« Ce n'était pas un viol, nous sommes amants », se défend un directeur d’école qui a couché avec l’une de ses élèves

C’est un après-midi inhabituel qu’a connu une école privée de la banlieue de Conakry, la capitale guinéenne, le week-end dernier. Le directeur général a été surpris dans son bureau en train d’avoir des relations sexuelles avec une de ses élèves, venue pour des cours de révision. Cet encadreur du groupe scolaire Mayleré qui est un nouvel établissement, jure que ce n’était pas « un viol ».

« Ce n’était pas un viol, c’était un acte de consentement. Elle et moi sommes amants. Nous sommes en relation depuis novembre 2024 », se défend directeur d’école.

Pour sa partie de jambes en l’air avec l’élève, tout a commencé par un échange matinal de messages téléphoniques entre les deux. C’est au cours de cette conversation qu’ils ont planifié leur rencontre. Les cours de révision étant programmés à 12h, les deux se sont retrouvés dès 10 h (heure locale).

« Comme c’était un dimanche et que l’école était vide, on s’est écrit et on a décidé de se retrouver à l’école à 10 h. J’y suis allé avant elle. Le sexe n’était pas prévu. Mais comme vous le savez, entre l’homme et la femme, ça s’attire. Nous parlions de tout et de rien quand soudainement elle s’est approchée de moi de plus près et a commencé à me faire des gestes qui font perdre le contrôle », a-t-il expliqué.

Selon toujours le directeur d’école, lui et la fille n’ont pas eu à se déshabiller pour passer à l’acte.

« Nous étions assis tous deux dans un fauteuil. À un moment, elle est assise sur moi et a commencé à me caresser. Elle a ouvert ma fermeture, j’ai soulevé sa robe et on est passé à l’acte. C’est dans cette position qu’un enseignant et deux élèves m’ont trouvé. Ils cherchaient apparemment des craies. Mais quand ils nous ont vus, ils étaient tellement surpris qu’ils n’ont dit aucun mot. Les deux élèves sont sortis en courant vers les autres pour leur annoncer ce qu’ils venaient de voir. C’est ainsi que la nouvelle s’est propagée dans l’école », raconte-t-il.

Le directeur et la fille ont tous deux été bannis de l’établissement scolaire.

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