Guinée : de nouveaux cas suspects de la Mpox enregistrés

Faisant désormais partie des pays touchés par le virus de la Mpox, la Guinée semble être de plus en plus exposée au risque de propagation de la maladie.

Selon l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (ANSS), quatre (4) nouveaux cas suspects ont été enregistrés, portant ainsi le nombre provisoire de personnes suspectes à trente (30).

Malgré les dispositions prises par les autorités du secteur de la santé, la Mpox ou variole du singe est en train de gagner du terrain en Guinée. Sur sa plateforme X, l’Agence nationale de sécurité sanitaire communique au fur et à mesure sur l’évolution de la maladie dans le pays.

Les chiffres croient au fil des jours. Alors qu’on était récemment à vingt-six cas suspects, on en est désormais à trente (30).

La propagation rapide de la maladie inquiète déjà en Guinée, car l’on a encore en mémoire le passage du COVID-19 et son cortège de malheur. La confirmation d’un cas la semaine dernière sur une fillette de 7 ans dans la préfecture de Macenta, située au sud du pays, effraie davantage. Aux dernières nouvelles, la malade serait toujours en soins.

La Mpox se propage très vite en Afrique. Elle est déjà présente dans plusieurs pays du continent, parmi lesquels la RDC occupe la tête du peloton en termes de cas de contaminations et de décès.

Se manifestant par des irruptions cutanées sur la peau, elle a été récemment assimilée au coronavirus. Mais pour l’instant, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) écarte tout lien entre les deux maladies.

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