Dans la nuit du 16 au 17 avril, des islamistes ont attaqué un village de l’État du Plateau au Nigéria. Le premier bilan fait état de plusieurs morts, principalement des femmes et des enfants. Des radicaux Peulhs, opposés à la pratique continue du christianisme dans la localité où l’attaque a été perpétrée, sont cités comme responsables de la tragédie.
La réaction n’a pas tardé du côté des autorités nigérianes. Elles condamnent le massacre et assurent que des recherches ont été engagées pour retrouver les auteurs.
Les organisations humanitaires, évoluant dans le pays, ont également fait part de leur indignation. En plus, elles ont appelé la communauté internationale à une aide urgente pour les survivants. Réagissant toujours à la nouvelle tragédie, elles ont réitéré la nécessité d’une sécurité renforcée sur l’ensemble du territoire nigérian.
Le Nigeria est un pays avec des parties hors contrôle des autorités. Chose qui occasionne souvent des attaques intercommunautaires ou terroristes aux conséquences mortelles. À ceci s’ajoutent des enlèvements visant principalement les jeunes filles. Ces dernières sont par la suite converties, voilées et mariées de force à leurs ravisseurs.