Mercredi, près de 44 millions d’électeurs congolais sont appelés aux urnes pour élire un président de la République, des députés, et des représentants aux assemblées provinciales. Le scrutin à un tour verra vingt candidats, dont le président sortant Félix Tshisekedi, briguer la magistrature suprême. La sécurité et la logistique présentent des défis majeurs, avec des préoccupations quant à la participation en raison de la crise sécuritaire dans certaines régions. La campagne électorale a été marquée par des violences, et des observateurs internationaux, dont une équipe de l’Union africaine et huit de l’Union européenne, surveilleront le processus.
Les élections en RDC sont confrontées à des défis complexes, notamment des problèmes de sécurité et logistiques qui pourraient affecter la participation des électeurs. Les violences pendant la campagne soulignent la tension politique. La présence d’observateurs internationaux est cruciale pour garantir la transparence du processus électoral. La réduction du nombre d’observateurs de l’Union européenne suscite des réactions mitigées, mais l’attention internationale demeure essentielle pour évaluer la crédibilité du scrutin. La situation en RDC nécessitera un suivi attentif alors que le pays se dirige vers les élections.
Points clés :
44 millions d’électeurs congolais sont appelés aux urnes pour élire un président, des députés, et des représentants provinciaux.
Félix Tshisekedi, président sortant, est parmi les vingt candidats en lice, dont Moïse Katumbi et Martin Fayulu.
Des défis de sécurité et de logistique persistent, notamment dans les régions touchées par la crise.
Des violences ont émaillé la campagne électorale, avec des incidents meurtriers signalés.
L’Union africaine et l’Union européenne enverront des observateurs pour surveiller le déroulement du scrutin.