Rabat a lancé la CAN 2025 avec tambours, trompettes et un trône vide. Le roi Mohammed VI n’était pas là, mais son portrait XXL a assuré la présence royale. On dit souvent que « le football, c’est une question de présence sur le terrain », eh bien, cette fois, c’était une question de présence sur la bâche !
Le roi soigne sa sarcoïdose, une maladie qui lui impose de rester loin des foules. Certains diront qu’il a choisi la tactique : rester en retrait pour mieux défendre sa santé. Et franchement, vu la taille du portrait, il avait la meilleure vue sur le match… sans risquer le hors-jeu diplomatique.
Qui pour faire le pressing ?
Le prince héritier Moulay El Hassan a pris le relais avec style. À 22 ans, il a serré des mains comme un milieu récupérateur et distribué des sourires comme des passes décisives. Si la politique était un match, il vient de faire une entrée pour dynamiser le jeu.
Et le match ?
Maroc-Comores a lancé la compétition dans une ambiance électrique. Les supporters ont chanté, dansé, et certains ont tenté des selfies avec le portrait royal. Spoiler : il ne sourit pas plus en photo qu’en vrai… mais au moins, il ne fait pas de fautes dans la surface.
Le Maroc a prouvé qu’il peut organiser une CAN digne des plus grands, même sans son roi sur le terrain. Après tout, dans le football comme dans la vie, l’important c’est de jouer collectif… et d’avoir un bon imprimeur pour les portraits !
B.B