Lors de la séance des questions d’actualité à l’Assemblée nationale ce vendredi, le ministre des Finances et du Budget a indiqué que les discussions avec le FMI se déroulent « très bien », malgré certaines perceptions contraires.
Il a rappelé que les négociations ont débuté après la publication de l’audit de l’Inspection générale des finances et sa certification par la Cour des comptes, et qu’une lettre avec un plan de réformes a été envoyée au FMI le 28 février 2025.
Le ministre a reconnu les défis économiques, notamment la hausse du taux d’endettement, passé de 74 % à 119 %, et un déficit budgétaire de 13,4 % fin 2024. Ces indicateurs expliqueraient la prudence du FMI, soucieux de la fiabilité des données avant toute avancée majeure.
Selon lui, les discussions restent constructives et en cours, avec l’objectif d’assurer transparence et solidité dans la gestion économique du pays.







