La justice sénégalaise est sous pression. Selon L’Observateur, malgré des ambitions affichées de réforme, l’institution peine à répondre aux attentes.
Les magistrats restent soumis à des mécanismes de contrôle et à des pratiques qui limitent leur indépendance et freinent l’efficacité des réformes.
Les défenseurs des droits humains dénoncent des problèmes persistants : détentions préventives disproportionnées, mépris des avis médicaux, absence d’humanisation des peines, et retard dans l’application des recommandations issues des Assises de la justice à Diamniadio.






