Alors que le président américain Donald Trump a accueilli jeudi à Washington les présidents congolais Félix Tshisekedi et rwandais Paul Kagame pour la signature d’accords visant à stabiliser l’est de la RDC, les combats se poursuivaient vendredi sur le terrain.
Le groupe rebelle M23, soutenu par le Rwanda et non lié à l’accord, accuse l’armée congolaise et le Burundi de frappes meurtrières sur des villages du Nord et du Sud-Kivu, causant la mort de civils et des destructions d’infrastructures. L’armée congolaise assure viser uniquement les combattants et dénonce des violations répétées du cessez-le-feu par le M23.
Selon les analystes câblés par Reuters, la médiation américaine a limité une escalade régionale mais n’a pas résolu les causes profondes du conflit, et les engagements pris par Kinshasa et Kigali en juin restent partiellement appliqués






