Le G7, regroupant plusieurs syndicats d’enseignants, a dressé son plan d’action et dénoncé de nombreux points qu’il juge toujours en souffrance. Les enseignants réclament en priorité la révision du statut des décisionnaires, la fin des lenteurs administratives et l’arrêt des surimpositions sur les rappels de salaire.
Le syndicat demande aussi le parachèvement de la FDU (Filière de Diplôme Unique), la révision du décret créant les LYNAQE (Lycées de Nouvelle Génération ou d’autres acronymes spécifiques) ainsi que le paiement des indemnités dues aux enseignants qui y travaillent. À cela s’ajoute une autre exigence : l’académisation du BFEM (Brevet de Fin d’Études Moyennes), considérée comme une étape essentielle pour améliorer le système éducatif.
Face à l’absence de réponses rapides de l’État, le G7 annonce de nouvelles actions. Un débrayage est prévu le mardi 18 novembre à partir de 9h, suivi d’une grève totale le mercredi 19. Les syndicats affirment vouloir maintenir la pression tant que leurs revendications ne seront pas satisfaites.
Alioune Sow






