La technologie propre pour booster les programmes de développement durable en Afrique

Le développement durable en Afrique est une préoccupation pour les africains. A telle enseigne que la mise en service de véhicules électriques est devenue essentielle.
D’où l’initiative de la commission économique pour l’Afrique (CEA), l’organisation mondiale de développement et de coopération pour l’interconnexion énergétique (GEIDCO) et l’Association des services publics d’électricité (APUA) d’un programme de formation conjoint.

Une réunion virtuelle qui se déroule du 4 au 14 juin 2024 et qui regroupe plus de 140 participants de 25 pays africains venant des ministères des transports et de l’énergie, des commissions de l’énergie, des compagnies d’électricité et du monde universitaire ainsi que de la CEA et de la Bad.

Sous le thème  » partage de technologies en matières de véhicules électriques (VE) et de stockage d’énergie (EST) pour le développement de l’Afrique », les modules couvrent une large gamme de sujets en relation avec les installations de recharge, la sécurité des réseaux, les normes et initiatives relatives aux véhicules électriques, le système de transport public électrique, entre autres véhicules électriques agricoles et les chaînes de valeur.

Le secrétaire général de la GEIDCO Wu Xuan voit en cette formation une occasion pour faire évoluer les programmes de développement durables des pays africains. D’après lui, ces pays

 pourraient transformer leur potentiel en matières d’énergies renouvelables et de ressources minérales critiques en avantages industriels grâce au développement de chaîne de valeur locales et à la promotion coordonnée de l’électrification, de l’industrialisation et du développement durable.

Non sans avoir lors du lancement de la cérémonie d’ouverture souligné la pression à laquelle les pays africains font face en matière d’accès à l’énergie et de transition énergétique.

Dans son discours, le conseiller de la mission diplomatique de la Chine auprès de l’Union africaine a signifié que la mission s’assurait de la continuité de la coopération sino-africaine en continuant de promouvoir les véhicules électriques et les EST, le partage d’expériences et les partenariats entre entreprises chinoises et africaines comme moyen de soutien de la transition énergétique en Afrique.

Au delà des contributions précieuses devant être apportées par des entreprises spécialisées en technologies de véhicules pour les participants tels que NR Electric ou encore l’institut de recherche sur l’énergie de la State Grid Corporation of China (SGCC), la formation prévoit une analyse spécifique au pays et une planification d’une feuille de route sur le ((VE) et les EST qui seront réalisées en fonction des besoins.

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